Santé : un projet dénommé BlockRabies pour une gestion intégrée de l’information sur la rage
Initié dans le cadre de la lutte contre la rage en Côte d’Ivoire et au Mali, le projet BlockRabies assure la mise en place d’un système de gestion intégrée de l’information sur la rage. Désignée comme une maladie du chien, La rage est une aussi mortelle chez l’homme. L’ignorance et l’insouciance des risques liés à la rage continuent d’endeuiller des familles. Le projet BlockRabies s’inscrit dans le plan stratégique mondial ꓽ zéro décès de rage humaine d’ici à 2030.
Le 10 décembre 2020 dans la ville de Grand Bassam (Côte d’Ivoire) s’est tenu le lancement du projet BlockRabies. Un évènement organisé sur 4 jours et coloré de diverses activités.
Cette cérémonie de lancement en format hybride (en présentiel et en ligne) a rassemblé près de 70 participants venus de plusieurs pays, de divers secteurs et institutions.
Etaient représentés à cette cérémonie : le Ministère de la Santé et de l’Hygiène Publique, le Ministère des Ressources Animales et Halieutiques , l’Institut Pasteur Paris , l’Institut Tropical et de Santé Publique Suisse (Swiss TPH), le Laboratoire Central Vétérinaire (LCV), l’Université des Sciences, des Techniques et des Technologies de Bamako (USTTB), le Centre Suisse de Recherches Scientifiques en Côte d’Ivoire (CSRS), l’Institut National d’Hygiène Publique (INHP) et la Direction des Services Vétérinaires (DSV).
Les acteurs nationaux et les partenaires internationaux ont procédé à des séances de travail et des visites de locaux.
Aux stands, d’autres institutions partenaires s’y trouvait notamment le Laboratoire National d’Appui au Développement Agricole (LANADA) et l’Institut Pasteur de Côte d’Ivoire.
Ce fut le lieu de présenter le projet aux participants et responsables des institutions en vue de favoriser la signature d’accords. Une mission bien réussie. Chacune des institutions s’est engagée à œuvrer pour le bon déroulement du projet.
Les activités autour du lancement ont pris fin le 11 décembre par la validation des questionnaires sur la collecte de données dans la Blockchain et le pilotage scientifique du projet. Cette dernière a permis de découvrir l’état d’avancement des travaux des groupes de travail.
